La gare Part-Dieu de Lyon regorge d’histoires. Au tout début, en 1964, sa construction a été refusée par la SNCF. Pourtant, l’État a investi pour que 6 ans après, le quartier  devienne fonctionnel : métro, centre commercial, bibliothèque…

Gare Part-Dieu : un nom d’origine divine

Beaucoup croient que le nom de cette station signifie « don de Dieu ». Mais l’origine de cette appellation reste une hypothèse. Certains disent que c’est à cause de sa situation assez particulière au moment de sa découverte : un petit bout de terre au milieu des marécages. D’autres affirment que ce nom fait référence à l’ordre religieux des Frères de la Part-Dieu qui possédaient des terres à cet emplacement au Moyen Âge.

Une construction qui a remplacé la gare Lyon-Brotteaux

La Gare Part-Dieu que nous connaissons aujourd’hui a remplacé l’ancienne gare Lyon-Brotteaux. Inaugurée en 1983, la nouvelle a été conçue par l’architecte Jacques Perrin-Fayolle dans un style moderne.

La Place Charles Béraudier : un projet écologique

Conçue comme un espace de détente et de rencontre au sein de la Gare de Lyon Part-Dieu, la Place Charles Béraudier est jalonnée de bancs, de fontaines et de jardinières. Les arbres et les plantes ont été choisis avec soin pour améliorer la qualité de l’air, mais également le paysage.

Projet Part-Dieu : inscrit dans la SNCB depuis 2020

Ce projet écologique s’inscrit dans la volonté de la ville de Lyon de réduire son impact carbonique, sans pour autant nuire à la qualité de vie de ses habitants. La Place Charles Béraudier est alors un symbole du renouveau du quartier de la Part-Dieu et de l’engagement de la ville au développement durable.

Mais les rénovations de la Gare Part-Dieu ne se limitent pas à la création de la Place Charles Béraudier. De nombreux travaux ont été entrepris pour améliorer l’accueil et le confort des voyageurs. Parmi les changements, on peut citer la rénovation de la grande verrière qui surplombe les quais. Cette dernière a été entièrement dépolie et équipée de panneaux photovoltaïques pour produire de l’électricité renouvelable.

La gare Part-Dieu de Lyon regorge d’histoires. Au tout début, en 1964, sa construction a été refusée par la SNCF. Pourtant, l’État a investi pour que 6 ans après, le quartier  devienne fonctionnel : métro, centre commercial, bibliothèque…

Gare Part-Dieu : un nom d’origine divine

Beaucoup croient que le nom de cette station signifie « don de Dieu ». Mais l’origine de cette appellation reste une hypothèse. Certains disent que c’est à cause de sa situation assez particulière au moment de sa découverte : un petit bout de terre au milieu des marécages. D’autres affirment que ce nom fait référence à l’ordre religieux des Frères de la Part-Dieu qui possédaient des terres à cet emplacement au Moyen Âge.

Une construction qui a remplacé la gare Lyon-Brotteaux

La Gare Part-Dieu que nous connaissons aujourd’hui a remplacé l’ancienne gare Lyon-Brotteaux. Inaugurée en 1983, la nouvelle a été conçue par l’architecte Jacques Perrin-Fayolle dans un style moderne.

La Place Charles Béraudier : un projet écologique

Conçue comme un espace de détente et de rencontre au sein de la Gare de Lyon Part-Dieu, la Place Charles Béraudier est jalonnée de bancs, de fontaines et de jardinières. Les arbres et les plantes ont été choisis avec soin pour améliorer la qualité de l’air, mais également le paysage.

Projet Part-Dieu : inscrit dans la SNCB depuis 2020

Ce projet écologique s’inscrit dans la volonté de la ville de Lyon de réduire son impact carbonique, sans pour autant nuire à la qualité de vie de ses habitants. La Place Charles Béraudier est alors un symbole du renouveau du quartier de la Part-Dieu et de l’engagement de la ville au développement durable.

Mais les rénovations de la Gare Part-Dieu ne se limitent pas à la création de la Place Charles Béraudier. De nombreux travaux ont été entrepris pour améliorer l’accueil et le confort des voyageurs. Parmi les changements, on peut citer la rénovation de la grande verrière qui surplombe les quais. Cette dernière a été entièrement dépolie et équipée de panneaux photovoltaïques pour produire de l’électricité renouvelable.

7 destinations intégrées en 8 mois, ce chiffre surprend, mais, EasyJet ne s’arrête pas là. La compagnie aérienne vient d’annoncer l’ajout de deux nouvelles destinations. A partir du 8 novembre 2024, les voyageurs pourront accéder à deux vols par semaine en direction de Berlin, la capitale de l’Allemagne.

Et à partir du 4 janvier 2025, un vol par semaine mettra les voiles pour Newcastle, ville située au nord du Royaume-Uni. Dans cette ville, les températures atteignent les 35 degrés de juin à septembre. Cette période attire aussi un maximum de visiteurs en mai, période des festivals et en décembre pendant les fêtes de fin d’année. EasyJet vend les billets dès maintenant pour environ 35 euros l’aller, budget bagage non compris. Cette ligne est la 50^ème de la compagnie à l’aéroport de Lyon.

La compagnie aérienne Transavia propose aussi de nouvelles destinations au départ de l’aéroport de Lyon

Transavia, compagnie low-cost appartenant au groupe Air France-KLM, développe aussi régulièrement son offre dans l’aéroport de Lyon. Elle a ajouté notamment 3 vols par semaine pour Dubaï depuis le 30 octobre 2023, deux vols par semaine pour Le Caire (Capitale d’Égypte) depuis le 22 décembre 2023, ainsi que deux vols par semaine pour :

• la ville de Fès au Maroc depuis le 12 avril 2024 ;
• Tirana en Albanie depuis le 12 avril 2024 ;
• Erevan en Arménie depuis le 13 avril 2024.

Elle annonce le lancement d’une nouvelle destination le 15 décembre 2024, l’île de Sal (Cap Vert), avec un vol tous les dimanches. Le prix des billets reste très accessible. Par contre, les voyageurs doivent payer 10 euros pour chaque bagage en cabine de 10 kg. Ce service est désormais payant afin de fluidifier le processus d’embarquement et de limiter les retards. 

Pierre Grosmaire, directeur commercial et marketing d’Aéroport de Lyon Saint-Exupéry confirme que cet élargissement d’offres a été initié pour répondre aux attentes des voyageurs durant la saison estivale. Tanguy Bertolus, président du directoire d’Aéroport de Lyon, quant à lui, déclare que ces nouvelles destinations témoignent du dynamisme de Lyon et de son aéroport. 

Au milieu des cris de joie, des feux d’artifice et des fumigènes qui accueillent les joueurs à leur arrivée à Andrézieux-Bouthéon (Loire), les gendarmes ont dû intervenir. Les supporters agités, ont forcé le grillage pour pénétrer sur le tarmac et s’approcher des Stéphanois. Les gendarmes ont dû utiliser du gaz lacrymogène pour les repousser.

Les joueurs sont montés dans leur bus afin de pouvoir sortir de l’aéroport vers minuit. Mais malheureusement, le bus reste bloqué dans une énorme foule. Certains joueurs sont descendus pour communier avec leurs supporters et ont même été portés par ces derniers. Ne pouvant avancer que très lentement, le bus, escorté par la gendarmerie, est arrivé au centre d’entraînement de l’Etrat vers 1 h 30 du matin. Il leur a donc fallu 2 h 30 pour traverser les 250 mètres qui séparent l’aéroport et le centre.

Des dégradations à l’aéroport qui va porter plainte

Les gendarmes n’ayant pas pu repousser les 2000 fervents admirateurs, certains d’entre eux ont démonté les grillages du tarmac de l’aéroport afin de s’approcher de leurs héros. La porte vitrée d’entrée du hall de l’aérogare et le portail des pistes ont aussi été enfoncés. Sur celles-ci stationnaient trois avions.

Selon la déclaration de François Driol, le président du conseil d’exploitation de l’aéroport de Saint-Étienne, une plainte sera déposée. Il affirme que ces incidents auraient pu être mieux anticipés. La direction de l’aéroport ainsi que les gendarmes continuent l’évaluation des dommages matériels le lundi matin avant de procéder au dépôt de plainte.

Malgré les gendarmes, le gaz lacrymogène et les dégâts matériels, les célébrations se sont enchaînés dans la ville du Forez. La communion dans le centre d’entraînement de l’Etrat a pris fin vers 2h 30 du matin. Les Stéphanois ont été très surpris par cet accueil et sont rentrés chez eux sur les coups de 2h 40.